Quatre-vingts parlementaires de tous bords ont cosigné le 3 mars 2011 une motion parlementaire "contre l'exploitation du gaz de schiste" écrite à l'initiative de Pierre Morel-à-L'Huissier (UMP) et Pascal Terrasse (PS).
"Nous, parlementaires de toute la France et de tous bords politiques, avons décidé de nous unir afin de porter les inquiétudes de nos concitoyens et des élus locaux de nos territoires quant à l'exploitation industrielle du gaz de schiste" affirme le texte. "A la vue des impacts présents aux Etats Unis et au Canada (...), il n'est pas concevable qu'une quelconque exploitation de ce gisement soit mise en œuvre sur l'ensemble des sites français", ajoute-t-il.
"Le manque de transparence évident de la part de l'Etat et l'incohérence entre le souci de préserver l'environnement et l'annonce de l'exploitation du gaz de schiste nous pousse à réagir", poursuivent les parlementaires.
"La suspension des travaux d'exploration jusqu'aux résultats du rapport sur les enjeux environnementaux de l'exploitation du gaz de schiste n'est pas suffisante. Il faut immédiatement que l'Etat fasse marche arrière et stoppe toutes les initiatives prises au nom notamment du principe de précaution qui a valeur constitutionnelle (...) Notre détermination est totale, nous ne nous laisserons pas imposer le gaz de schiste!", concluent les parlementaires.
Cette déclaration fait suite à la création par ces deux mêmes députés d'un Comité de surveillance et de précaution sur les gaz de schiste et à la mise en place d'une Mission d'information pilotée par les députés François-Michel Gonnot (UMP) et Philippe Martin (PS).
"Nous, parlementaires de toute la France et de tous bords politiques, avons décidé de nous unir afin de porter les inquiétudes de nos concitoyens et des élus locaux de nos territoires quant à l'exploitation industrielle du gaz de schiste" affirme le texte. "A la vue des impacts présents aux Etats Unis et au Canada (...), il n'est pas concevable qu'une quelconque exploitation de ce gisement soit mise en œuvre sur l'ensemble des sites français", ajoute-t-il.
"Le manque de transparence évident de la part de l'Etat et l'incohérence entre le souci de préserver l'environnement et l'annonce de l'exploitation du gaz de schiste nous pousse à réagir", poursuivent les parlementaires.
"La suspension des travaux d'exploration jusqu'aux résultats du rapport sur les enjeux environnementaux de l'exploitation du gaz de schiste n'est pas suffisante. Il faut immédiatement que l'Etat fasse marche arrière et stoppe toutes les initiatives prises au nom notamment du principe de précaution qui a valeur constitutionnelle (...) Notre détermination est totale, nous ne nous laisserons pas imposer le gaz de schiste!", concluent les parlementaires.
Cette déclaration fait suite à la création par ces deux mêmes députés d'un Comité de surveillance et de précaution sur les gaz de schiste et à la mise en place d'une Mission d'information pilotée par les députés François-Michel Gonnot (UMP) et Philippe Martin (PS).
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